Après deux semaines de travail pour préparer Gaia pour la traversée du Pacifique, il était temps de passer un peu de temps à découvrir le Chili.

Notre première étape fut le long du rio Maule, près de la ville de Talca, au centre du Chili. Martine et Christian développent un flan de la vallée. Ils ont planté des avocatiers, des arbres fruitiers de toutes sortes, de la vigne. Ils font leur vin, leur miel et reçoivent hôtes et amis dans des « cabanas » qui n’ont de cabanes que le nom. Tout est harmonieux dans la fin du printemps chez eux. La vue est superbe sur le rio.

Rio Maule vu de chez Martine et Christian

Pistachier chez Martine et Christian

Christian dans sa distillerie

Martine devant chez eux

Le deuxième lieu que nous avons visité est San Pedro de Atacama, tout au nord du Chili, proche de la frontière bolivienne. San Pedro et sa région sont au pied des Andes et séparés du désert de l’Atacama proprement dit par une chaîne de montagne. Il y a un peu d’eau qui s’écoule des Andes permettant une certaine agriculture. C’est aussi une région d’extraction de salpêtre, de Bore et maintenant de Lithium.

San Pedro de Atacama

Une lagune dans les Altiplano

Flamands roses en nombre

Geysers tôt le matin

Le soleil se lève derrière un geyser

Vallée de la Lune

Avant de redescendre plus au sud, nous avons passé deux jours à l’ESO, European Southern Observatory, dans le désert d’Atacama proprement dit. Nous y étions les hôtes du directeur général, Xavier Barcons. Le site est isolé de toute lumière humaine, les nuits y sont aussi sombres que possibles. La lune était pleine pendant notre nuit sur la montagne. Voir https://sy-gaia.ch/les-grands-telescopes-de-leso-un-raccourci-personnel/ pour une description des grands télescopes de l’ESO.

Désert d’Atacama

Le soleil se couche sur le VLT

La nuit tombe sur la Residencia où nous logeons

Le Chili est aussi Santiago et son musée de la mémoire et des droits de l’homme.

Déclaration des droits humains

Des victimes…

Il est souvent impossible de s’arrêter en bateau sur l’Île de Pâques. Soit les vents sont contraires, soit la houle ne permet pas de s’ancrer ; et il n’y a ni port ni abri. Nous avons donc décidé d’y faire un tour en avion et de partir à la découverte de moaïs et de la civilisation de l’homme oiseau.

On protège les cultures du vent sur l’Île de Pâques

Les moaïs naissent dans une carrière

Ils y étaient sculptés

Puis transportés

Les yeux étaient ajoutés sur le site.

Gugga, un marin brésilien téléphone des Canaries pour suggérer une nouvelle constellation proche d’Orion. Surprenant dans le cimetière de Rapa Nui.